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Emergence |
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Le Bénin |
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Projet Bénin 2002 |
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Bilan du projet Bénin 2002 |
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Géographie :
C'est un état d'Afrique occidentale, sur le golfe du Bénin, d'une superficie de 112 622 km2. Il compte 6 000 000 d'habitants.
Sa capitale administrative est Porto-Novo, la capitale économique est Porto Novo, la langue officielle est le français, sa monnaie : le franc CFA (1€ = 650 Fr CFA).
Le Bénin est divisé en 12 départements et 77 communes répartis comme suit :
Différentes ethnies composent la population, les principales sont :
- Fons
- Adjas
- Baribas
- Yoroubas
Les différentes religions sont :
- animisme (65%)
- catholique (15%)
- islam (10%)
Etiré entre les bassins du Niger et de la Volta, le Bénin est un pays au relief monotone.
Au sud s'étendent des plaines fertiles et forestières, à population très dense, bordées d'un littoral sableux à lagunes.
Au centre et au nord, des plateaux jalonnés de hauteurs (massif de l'Atakora) connaissent un climat tropical plus sec : c'est le domaine de la savane au peuplement plus clairsemé.
La population, rurale à 60%, enregistre une forte croissance.
Economie :
L'agriculture constitue la quasi-totalité des ressources économiques :
- manioc (base de l'alimentation)
- palmier à huile
- arachide
- café
- coton
La pêche est importante. Les centres thermiques de Cotonou et de Porto-Novo permettent quelques industries (transformation des produits agricoles).
Depuis 1983, un gisement pétrolier off shore est exploité à Sémé.
Histoire :
Dès le XVIe siècle, le littoral du royaume du Dahomey devint le lieu privilégié de la traite des Noirs.
La conquête française fut difficile : l'armée de Béhanzin, roi d'Abomey, célèbre par son corps d'Amazones, ne fut vaincue qu'en 1894. En 1899, le pays entra dans l'AOF.
Indépendant en 1960 (sous le nom de république du Dahomey jusqu'en 1975), membre du conseil de l'Entente, il connut une exceptionnelle instabilité politique jusqu'au coup d'Etat de 1972 qui porta au pouvoir le commandant Mathieu Kerekou, lequel instaura un régime se réclamant du marxisme.
En 1989, Monsieur Kerekou, président depuis 1980, a dû, sous la pression du pays, nommer un Premier ministre, N. Soglo, en mars 1990, à la tête d'un gouvernement exclusivement civil. Des états généraux ont permis à la population d'exprimer ses doléances par écrit.
Le régime de parti unique a été aboli, une amnistie générale décrétée; les prisonniers politiques ont été libérés. Des élections générales, prévues en mars 1991, précèderont la mise en place de nouvelles institutions.
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